La pension en abri paddock est idéal pour ma jument. En plus d’avoir un abri sur une dalle de béton (toujours au sec) les paddocks ont de l’ombre. La sellerie dans l’abri est très pratique et très grande. Le foin est sur un râtelier ce qui est parfait pour éviter le sable. Il y a un espace largement suffisant pour que ma jument se défoule, joue avec sa colocataire et se roule. Les paddocks sont très bien entretenu comme le haras. Tout est joliment décoré et arboré. Les installations sont superbes et les chemins de balades géniaux. Il y a la possibilité de faire de petites balades, trotting ou encore de plus longue randonnées. Les cours collectifs, particuliers et les challenges m’ont permis d’évoluer et de faire évoluer ma jument rapidement En résumé, je suis très contente d’être dans ce haras et il semblerait que ma jument s’y plaise beaucoup.
Mes deux chevaux sont au haras depuis maintenant 1 an et un mois. Il ont trouvé leur place dans leur paddock avec un abri sur dalle béton. Leur foin (à volonté) ne traîne pas à terre grâce au filet a foin déposé dans le râtelier, et le paddock est nettoyé tous les deux jours, l'eau chaque jour. Ils y sont bien, leur yeux pétillent, ils ont de la place pour se dégourdir et un sous bois pour l'ombre. Nous disposons d'une sellerie spacieuse pour notre matériel et nous l'avons aménagé à notre convenance - Alexandre et Jacques présents sont toujours disponibles pour un conseil ou une explication. Pour le travail, nous disposons de trois carrières (éclairées la nuit) afin d'évoluer dans de bonnes conditions et en toute sécurité. Les intervenants extérieurs tant pour les soins (maréchalerie-osthéo-dentisterie) que pour le montoir sont de vrais professionnels.
Cela fait maintenant 8 mois que j’ai posé mes valises (et mes cartons)en Provence. Suite à la mutation de mon mari nous avons décidé de quitter nos terres natales du Berry. La première étape, était de trouver un lieu d’accueil pour mes 4 chevaux, le temps que nous trouvions une maison où je pourrai réinstaller les écuries Belvega. J’ai toujours eu mes chevaux à la maison; ce n’était donc pas anodin pour moi de les confier à des inconnus ! Propriétaire et responsable d’une écurie d’une petite vingtaine de chevaux pendant 20 ans, j’avais à cœur de trouver une écurie qui me ressemble et me permette de poursuivre mes activités de Cavaliere de dressage et d’artiste. Il m’aura fallu faire jouer mon réseau et trouver un lieu qui accepterait mes entiers. Après quelques visites mon choix c’est porté sur le Haras de Merindol, sur la charmante petite commune de Mornas, dans le Vaucluse (84). Nous y sommes donc installés depuis 8 mois. Je suis pleinement satisfaite de mon choix, c’est un lieu parfaitement organisé et géré par Alexandre Maimonne et Jacques Deloux. Mes chevaux se sont parfaitement acclimatés aux installations, leur apportant un cadre de vie confortable et adapté. Les paddocks sont nettoyés plusieurs fois par semaine et le foin y est à volonté; chacun dispose de son abreuvoir automatique ( ce qui est non négligeable lorsque l’on vit dans le sud) et de son abri avec sellerie personnelle fermée. 3 carrières, dont une de dressage (60x20) dont les sols sont praticables été comme hiver, ainsi qu’un rond de longe me permettent de travailler mes chevaux quotidiennement. Les espaces de soins et de douche sont quant à eux très beaux, toujours super propres et fonctionnels; un solarium est en train d’être installé ! Les boxs sont remis au carré et repaillé chaque jour ! Il n’y a jamais un brin de paille qui traîne dans la cour (sauf éventuellement par jour de mistral). Des chemins et des sentiers au départ du haras me permettent d’aller marcher tranquillement après mes séances de travail, de partir en trotting ou tout simplement aller explorer cette région que je découvre jour après jour avec mes chevaux. Je pourrai qualifier le Haras De Merindol en plusieurs lignes mais les 3 mots qui me viennent à l’esprit sont: sérénité, confort, sérieux !
« Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme celui-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge ! » (Joachim du Bellay) Un beau jour de 2017, cherchant un nouveau compagnon équin, je fis la rencontre – grâce à Alexandre Maimone qui l’avait fait naître, en 2013, dans son haras de Mérindol - de Delicato, un très beau lusitanien aux excellentes origines, fin, sensible et intelligent. Ce fut le coup de foudre commun ! Je l’emmenai chez moi, au pied des Cévennes, où nous avons passé un peu plus de trois années heureuses. La nostalgie peut-elle venir aux chevaux ? Suis-je seule à avoir imaginé que Delicato, certains soirs, songeait avec un sentiment de regret aux lieux où s’était déroulé son enfance ? (J’entends une voix qui me dit : « Pas d’anthropomorphisme ! »…) Alors, c’est tout naturellement (quand sonna pour moi l’heure de la retraite), que se fit le retour au pays natal avec lequel les liens n’avaient jamais été rompus. Depuis cinq mois Delicato a retrouvé le cadre idyllique de son village de Mornas, ses anciens compagnons, humains et équins, et il n’est pas près d’éprouver le désir de le quitter de nouveau, même pour le plus « beau voyage ». Il s’épanouit dans sa formule pension box-paddock, bénéficiant de tous les soins et prestations dont un cheval peut rêver et nous tirons grand profit du travail de Jacques et des leçons d’Alexandre. Sans compter les balades dans les sentiers sous les pins, parmi les senteurs provençales.